Distractions-nous…

Pendant les vacances, vous trouverez sur cette page :

des bizarreries de la langue française, de nouveaux jeux de mots, des dingbats et d'autres réjouissances

Les réponses peuvent être fournies sur simple demande.

JEUDIS VERTS = JEUX DIVERS

bizarreries de la langue française

  • Nous portions les portions
  • Les poules du couvent couvent
  • Mes fils ont cassé mes fils
  • Il est à l’Est
  • Je vis ces vis
  • Cet homme est fier. Peut-on s’y fier ?
  • Avant, nous éditions de belles éditions
  • Je suis content qu’ils content ces histoires
  • Il convient qu’ils convient leurs amis
  • Ils ont un caractère violent : ils violent leurs promesses
  • Nos intentions sont que nous intentions ce procès
  • Ils négligent les devoirs, je suis moins négligent qu’eux
  • Ils résident à Paris chez le résident d’une nation étrangère
  • Les cuisiniers excellent à faire ce mets excellent
  • Les poissons affluent à un affluent

A vous d'en trouver d'autres !

Jeux de mots

  • Les moulins, c’était mieux à vent ?
  • Quand on voit beaucoup de glands à la télé, faut-il changer de chêne ?
  • Si le ski alpin… qui a le beurre et la confiture ?
  • Je m’acier ou je métal ? Que fer ?
  • Un prêtre qui déménage a-t-il le droit d’utiliser un diable ?
  • Est-ce que personne ne trouve étrange qu’aujourd’hui des ordinateurs demandent à des humains de prouver qu’ils ne sont pas des robots ?
  • Est-ce qu’à force de rater son bus on peut devenir ceinture noire de car raté ?
  • Est-ce qu’un psychopathe peut être embauché comme psychologue chez Lustucru ?
  • Si Gibraltar est un détroit, qui sont les deux autres ?
  • Est-ce que l’on peut demander à une femme battue si son mari est un bon coup ?
  • Lorsqu’un homme vient d’être embauché aux pompes funèbres, doit-il d’abord faire une période décès ?
  • Je n’ai jamais compris pourquoi le 31 mai est la journée sans tabac, alors que le lendemain c’est le premier joint !
60 noms de peintres très connus se cachent dans le texte ci-dessous.

Précision : Man Ray et Jérôme Mesnager ne font pas partie de cette liste.

Que ce texte, qu'Ovide (pas le 19, le poète) n'aurait, je l'espère, pas renié fasse partie de ma nécrologie si par malheur le coronavirus a raison de mes 59 printemps.

Coupé du monde, abandonné de tous ses proches, la litanie de ses songes s'égraine au rythme du respirateur qui le soulage. Il n'est pas trop vieux c'est une chance ; signe actuel, parmi les six, les dix arrivés ce matin seuls deux gars ont été intubés. C'est la règle, il faut trier ! Le nombre de places, c'est le talon d'Achille du système hospitalier qui, avec brio, paie le prix fort des économies faites sur son dos depuis des années. L'hospice a rogné, pour quelques menues monnaies ses services et aujourd'hui,scandale ignoble, des milliers de cas ravagent les EHPAD.
Lui, Tanguy, le petit maçon jugé à risques car ayant de graves problèmes de reins, est arrivé ce matin, tôt, rai de lumière filtrant au travers des rideaux de cette pièce habituellement réservée aux enfants.
Sur sa gauche, sur son lit d'infortune, un homme roux aux longs cheveux et au cou saillant. A son visage au teint gris, marqué par la fatigue, il devine le supplice qu'il dut ressentir quand l'infirmier, d'un geste lent, piqua la sonde d'intubation dans la trachée. Dans son cou ne se distille plus que de l'oxygène ; perfusé, boire de l'eau n'est plus qu'un rêve. Escargot guindé, l'ermite est dans sa coquille et entre deux spasmes, de temps en temps, pousse un petit râle.
Sur sa droite, une table sur laquelle trône le polo que lui a offert sa belle-fille, une assiette, les reliques d'un buffet froid, un carpaccio et une maigre tranche de bacon sur un pain de mie qu'elle enjolive à peine et, pour aider à la digestion, cette abominable décoction d'angélique au goût amer.
A la fenêtre, dans un arbre noir, un chat galeux le fixe, droit devant, goguenard comme s'il était miro.
Alors, sous l'édredon, il rêve de quelque chose de plus léger, d'un monde riant dans lequel il ne serait plus enclin à courber l'échine. Il rebat ce qui a fait les meilleurs moments de sa vie, ses années de jeunesse, c'est la clé de l'espérance ; surtout ne pas rester là ! Sortir du champ de la mort, et si la Camarde se braque, à la vie à la mort, il se dit qu'il faut la ménager, surtout ne pas s'avouer vaincu et continuer le combat. Patience, espoir ou peur ? Il a chaud, très chaud, même si la clim tourne à fond il sait qu'il n'est peut-être qu'à l'aube de son agonie, cloué au lit et son calvaire
sera long.

Extrait d'un article de La Croix.

p.-s : Si je m'en sors considérez ce texte comme non avenu.

Trouver 30 noms d’auteurs dans le texte ci-dessous.

Confiné, il racontait ce qu’il ferait une fois libre, d’ici un mois, dans ces eaux-là. Ce moment semble si dur à surmonter…. Mais les mots, lierres de la pensée, permettent de s’évader un moment, de laisser fuir ces maux passants.

Près de la fontaine dont les flots bercent l’oreille distraite, des oiseaux volent ; terre, herbe et racines semblent endormis. Les oiseaux sont là, souverains, beaux, jeunes encore. Une tribu goguenarde qui boit l’eau et la bénédiction du soleil qui couvre leur air novice.

Le rabot de l’air ne les épuise pas : ils n’en font cas, mus par la douceur du jour.

Mus, c’est le mot, mais sans mouvement : ils se posent, l’arbre vert ne bouge presque pas.

Du mât naturel, ils regardent au loin, plus ou moins anges, peu ou prou statues. Braves bêtes, la becquée te les rend grands ; mais où est le bec aujourd’hui ?

Le héros poursuit son chemin rêvé. Les ronces ardentes frôlent ses pieds. Il avance doucement, cherchant une aide, bonde, brune, rousse au hasard.

Il a beau voir toute cette splendeur, il ne s’y trompe pas.

Il a beau marcher par l’esprit, il ne bouge en réalité pas.

C’est la force des poètes : se promener sans mouvement, sans de grands efforts.

Voir la vie en beau malgré tout, malgré les épreuves.

L’esprit est une gare : y passent mille idées qui s’enfuient et nous entraînent.

Toujours l’art a gonflé cette voile humaine, cette force : tenir bon jusqu’au prochain voyage.

Le langage caché des logos :

Très surprenant...regardez bien ... les publicitaires ont des idées parfois subtiles !
Je n’avais jamais fait attention à ces « subtilités »
Maintenant vous les regarderez différemment
 

 

  
> > > Vous voyez la flèche entre le "E" et le "x" (en blanc)?
> > > Je ne l’avais pas remarquée. 
 

 

 
> > > Le 2nd et le 3ème "T" sont deux personnes qui partagent une tortilla et un bol de sauce.

 

    
> > > Le "R" de Tour est un cycliste. Le cercle jaune est la roue avant et le "O" est la roue arrière.
 

 

  
> > > La flèche signifie qu’Amazon a tout de “a” à “z”. 

 

 

 

  
> > > Il y a un ours qui danse au-dessus du « ble ».
> > > Toblerone est fabriqué à Berne en Suisse dont l’emblème est un ours.
 

 

 
> > > Vous voyez le "31" dans "BR"?  = 31 parfums délicieux.
 

 

 
> > > Vous voyez le gorille et la lionne face à face (en blanc) ? 

 

 

 
> > > Le "smiley" (sourire) moitié de visage est aussi un “g” pour « goodwill »
 

 

Mais la palme reste à celui du TGV qui, retourné, représente un escargot . . . semblant expliquer les fréquents retards….il est vraisemblable que ça n’était pas prévu au départ !!!

 

 

C'est la crise

C’est la crise !.......

Les problèmes des boulangers sont croissants...

Alors que les bouchers veulent défendre leur bifteck,

Les éleveurs de volailles se font plumer,

Les éleveurs de chiens sont aux abois,

Les pêcheurs haussent le ton !

Et bien sûr, les éleveurs de porcs sont dans la merde,

Tandis que les céréaliers sont sur la paille.

Par ailleurs, alors que les brasseurs sont sous pression,

Les viticulteurs trinquent.

Heureusement, les électriciens résistent.

Mais pour les couvreurs, c'est la tuile

Et certains plombiers prennent carrément la fuite.

Dans l'industrie automobile, les salariés débrayent,

Dans l'espoir que la direction fasse marche arrière.

Chez EDF, les syndicats sont sous tension,

Mais la direction ne semble pas au courant.

Les cheminots voudraient garder leur train de vie,

Mais la crise est arrivée sans crier gare,

Alors... les veilleurs de nuit, eux, vivent au jour le jour.

Pendant que les pédicures travaillent d'arrache-pied,

Les croupiers jouent le tout pour le tout,

Les dessinateurs font grise mine,

Les militaires partent en retraite,

Les imprimeurs dépriment

Les météorologistes sont en dépression.

Les prostituées se retrouvent à la rue.

Amis, c'est vraiment une mauvaise passe.

Et du coup, pour Pâques, les gens resteront chez œufs…